Issu d’une élaboration collective avec les premiers concernés, le rapport intitulé « Le·a coordinateur·trice du réseau de soutien de l’usager en santé mentale » tout récemment publié par Rézone, met en lumière les ressorts, les missions, les caractéristiques – formelles et informelles – de la fonction de coordinateur·trice.
Ce jeudi 20 février, nous étions présents à la matinée « échanges et inspiration » organisée par la coopérative CERA en vue de réunir ses partenaires actifs dans divers projets de société.
« La pair-aidance en Fédération Wallonie-Bruxelles », tel est le titre de cet état des lieux que nous publions en partenariat avec Le Forum – Bruxelles contre les inégalités.
Le 9 décembre, c’était devant une salle comble que s’ouvrait le colloque « Gouverner le soin, soigner à contre-courant » organisé par la Ligue Bruxelloise Francophone pour la Santé Mentale (LBFSM).
Le 19 décembre, les trois coordinations du Smes étaient présentes à l’Université Libre de Bruxelles afin d’intervenir dans le cadre du Certificat en Santé-Précarité, co-organisé par l’ULB et Médecins du Monde.
Le 20 décembre, le gouvernement bruxellois, en la personne d’Alain Maron, présentait son plan de lutte contre le sans-abrisme pour la nouvelle législature.
« Il faut harmoniser les pratiques des CPAS » ; une phrase qui résonne comme une psalmodie pour le secteur tant elle est martelée par les acteurs du social-santé depuis belle lurette.
En ce début d’année, le KCE (Centre fédéral d’expertise des soins de santé) se penche sur la « littératie » en santé avec la parution d’un rapport sur la question.
Créer un lieu d’accueil à l’intention des personnes souffrant d’addictions dans lequel celles-ci peuvent consommer en toute sécurité, mais aussi trouver le soutien psycho-médical nécessaire pour les accompagner ou les conseiller, c’est le projet mené par l’ASBL Transit en partenariat avec les pouvoirs publics.
En ce début d’année 2020, la Fondation Roi Baudouin s’intéresse de près au rétablissement avec la publication d’un rapport « ZOOM » portant sur la question. Si les initiatives se réclamant du rétablissement sont de plus en plus nombreuses, il reste néanmoins du chemin à faire pour changer de paradigme vers des soins en santé mentale de qualité, participatifs, centrés sur la personne et accessibles à tous.